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Cointrin : du champ d’aviation à l’aéroport intercontinental (dès 1920) [21 vidéos]

 

Né après la 1ère Guerre mondiale pour les besoins de l’aviation commerciale naissante, le champ d’aviation de Cointrin ne cesse de s’adapter à la croissance du transport aéronautique international (passager, fret) pour devenir l’une des deux plus importantes plateformes aériennes de Suisse, occupant aujourd’hui dans son périmètre près de 6000 personnes (2004).


Déjà 85 ans d’histoire pour l’aéroport International de Genève Cointrin (photo AIG).

Difficile de raconter 85 ans de la trépidante vie d’un aéroport sans raconter l’évolution phénoménale du transport aérien durant la même période. Sachant, à terme, qu’un certain nombre de récits de Pionnair détaillent certaines étapes de la vie de Cointrin, on ne trouvera ci-dessous qu’un résumé (assez long !) du tout, constellé de certains détails qui ne figurent pas dans les dits Récits.

Du marécage à la piste en herbe (années 1920s)

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Cointrin en 1929 : peu d’avions au sol devant un marais asséché (photo AIG).

A la mi 1920, une zone marécageuse longue d’un 1km et de 575.000m2, est aménagée en champ d’aviation au nord de Genève sur la commune de Meyrin. L’endroit est sous le régime de vents dominants NE-SO impliquant une seule piste : en herbe. L’aérodrome est inauguré le 22 septembre 1920 et reçoit la visite d’un unique avion militaire (voir : Récit). L’infrastructure est modeste : une surface gazonnée de 24 ha et un petit bâtiment administratif d’un étage abritant une buvette au rez-de-chaussée, ainsi que 2 hangars en bois pouvant abriter une dizaine d’avions, complétés d’une installation de T.S.F. avec deux mats de 30 m de haut et un radiogoniomètre pour le guidage des avions.

Au printemps 1921 deux meeting aériens attirent un nombreux public, avec des vols acrobatiques et les premiers sauts féminins en parachute (voir : Récit). Le téléphone et la télégraphie sans fil sont installés au printemps 1922 et le meeting officiel inaugural se tient le 21 mai, regroupant 18 appareils militaires (voir : Récit). Marcel Weber, pilote militaire, est le "chef de place" (Biogr.) aidé du mécanicien Louis Demaurex (Biogr.) et de 5 autres personnes. Cointrin est à l’extrémité de la ligne postale aérienne suisse assurée par des appareils militaires C’est cette année que commencent effectivement les premiers vols commerciaux vers la Suisse et l’étranger, mais il s’agit encore d’une activité débutante (voir : Récit). Pour le mois de septembre on dénombre 22 arrivées et 20 départs d’avions, 27 passagers embarqués, 21 débarqués ; 40 vols locaux avec 36 passagers. Un meeting aérien se tiendra en 1925 (voir : Récit).

De 1926 à 1931, les hangars de bois sont remplacés par des bâtiments en maçonnerie couverts par une charpente métallique. Relativement vastes ils mesurent 40m d’ouverture pour 30m de profondeur.

En 1926, Walter Borner, pilote militaire (Biogr.), est devenu le suppléant du M. Weber. L’atterrissage de 2 appareils par jour est toujours considéré comme un trafic très animé !

Le bureau de la poste aérienne de l’aéroport est ouvert en 1927, avec sa propre oblitération.

En 1926 : le fret se monte à 10.000kg, en 1928 il est de 130.000 kg et l’on dénombre 1.640 voyageurs (voir : Récit. En 1929, création d’un modeste restaurant-crémerie installé dans un chalet construit à cet effet, à proximité du bâtiment administratif. Pendant toutes ces années c’est un troupeau de moutons qui tond l’herbe afin de faciliter le roulage des avions.

Du champ d’aviation à l’aéroport (1930-36)

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Plaque limitant le territoire de l’aérodrome dans les années 1920-1930s.

Un meeting se tient à Cointrin en 1930 ou voltigent de grands as européens (voir : Récit). Le Graf Zeppelin attire une foule estimée à 30.000 spectateurs (voir : Récit). En 1931 le champ d’aviation devient l’Aéroport de Genève-Cointrin. Cette année voit la mise en service d’installations pour vols de nuit, comprenant balisage du pourtour de piste, projecteur d’atterrissage et un 3ème hangar à charpente métallique. Swissair résulte de la fusion des petites compagnies, alors que la Borner-Genève-Air-Express est l’unique compagnie aérienne locale. Il n’y a encore que 2 ou 3 lignes régulières passant à Genève. En 1932, Charles Bratschi, aviateur militaire, débute comme commis à l’aéroport et en devient le directeur dès 1934 pour 40 ans (Biogr.). Le groupe de vol à voile est logé sur le terrain jusqu’en 1952.

Mi 1933, des projets de construction d’une véritable aérogare sont déposés (concours). En 1934-35 les travaux de nivellement sont entrepris, des marais asséchés. En fin d’année, un rapport mentionne : "les installations pour le trafic des voyageurs sont primitives et nettement insuffisantes. Le restaurant est trop loin du lieu de stationnement des avions. Les passagers, la poste, la douane et le service des bagages doivent, pour atteindre les avions, parcourir près de 100m sous la pluie et le vent, parfois entre des avions dont les hélices tournent. Il faut un immeuble permettant de centraliser le service présentant un attrait esthétique et offrant aux passagers et aux compagnies d’aviation tout le confort et les agréments qui les feront venir avec plaisir à Genève." Au printemps 1936, le poste d’émission et ses antennes sont déplacés à 1,5km au S-O, le long de la route de Meyrin, ne gênant plus la navigation aérienne. Le poste récepteur est également déplacé et doté d’appareils plus modernes, pour permettre l’utilisation parfaite du radiogoniomètre lors d’atterrissage par très mauvaise visibilité. Abandon définitif d’un projet de réalisation d’un étang artificiel pour hydravions.

Pendant les années 30, l’activité de l’Aéro-Club (concours, baptêmes de l’air, anniversaires) et de nombreuses Journées d’Aviation Populaires amènent encore fréquemment la population genevoise au bord de son aéroport.

Le développement du trafic aérien, des avions plus rapides et de grand tonnage, une meilleure attractivité nécessitent d’améliorer la piste en herbe de Cointrin. C’est en 1936-37 qu’intervient la véritable révolution avec la construction de la 1ère piste en béton, longue de 405m et large de 21. Il s’agit d’une première en Suisse et en Europe. En 1939, huit compagnies desservent Cointrin. La 2ème Guerre mondiale va geler le trafic aérien et ralentir ces travaux et Cointrin devient aussi une zone militaire. Malgré tout, un projet prévoit d’allonger la piste bétonnée à 1.065m, d’agrandir l’aire de stationnement, d’installer un dispositif d’éclairage du terrain, un nouveau réseau d’appareils radioélectriques, ainsi que la construction d’une nouvelle aérogare. Ces travaux d’une ampleur exceptionnelle en cette l’époque de guerre font que la piste en béton est portée à 2.000m. L’emprise totale du terrain est désormais de 210ha (voir : Récit). Les bombardiers américains blessés peuvent alors se poser à Genève dès 1944 (voir : Récit). Grâce à cela, à la fin de la guerre, Genève et prête avant d’autres pour reconstruire le transport aérien européen et même international.

De l’aéroport continental à l’aéroport intercontinental

Fin 1945 : 1er vol transcontinental des USA vers Genève par TWA (voir : Récit). Mai 1946 : 1er atterrissage de nuit . Piste inaugurée en août. Mai 1947 : 1er vol de Swissair sur Genève-New-York, ou presque, piloté par Walter Borner (voir : Récit). En octobre, grand meeting avec les appareils des vainqueurs de la guerre (voir : Récit). En 1948, mise en service du grand hangar. A la fin 1949, entrée en fonction d’une véritable aérogare (avenue Louis Casai) conçue pour un trafic de 300 000 passagers. En 1950 on en compte déjà 209 000, quelque 468.000 cinq ans plus tard et plus d’un million en 1962.

Au milieu des années cinquante on se prépare à la mise en service de jets commerciaux, avec tout ce que cela entraîne, dont la nécessité d’une piste plus longue et l’augmentation de la capacité de l’aérogare. A la fin 1956 les crédits sont votés à Genève puis à Berne. La piste bétonnée est portée à 2.600m en 1957, s’étendant sur la Commune de Grand-Saconnex. Un échange de territoire avec la France est nécessaire pou l’allonger encore, côté lac, sur la commune de Collex-Bossy. Cet accord de 1958 voit de plus la création d’une zone française de l’aéroport inaugurée en novembre 1959 (dans 10ans, ce "secteur français" sera accessible par une route française hors douane). La piste est finalement portée à 3.900 mètres (1960). Entre temps le plus gros meeting aérien de Cointrin s’est tenu en juin 1955 (Voir : Récit) et Zurich-Kloten est né, aéroport concurrent de Genève.

La construction de la nouvelle aérogare débute en 1962. En parallèle sont réalisés un tunnel routier (route de Ferney), les 3 satellites au milieu du tarmac, accessibles par des souterrains, un centre hôtelier pour Swissair, de nouvelles installations radioélectriques. Inaugurée en mai 1968, la nouvelle aérogare qualifiée de "plus moderne d’Europe" est prévue pour accueillir 5 millions de passagers. Bien qu’on envisage l’arrivée des gros porteurs (1970 : présence du 1er B-747 "Jumbo" de TWA ; voir : Récit) cette capacité est jugée suffisante jusqu’en l’an 2000. Lors de sa 1ère année de pleine exploitation (1969), la nouvelle aérogare accueille près de 2,5 millions de passagers. En 1972 Ernest Sudan est à la tête de l’aéroport (voir . Biogr) puis Paul Louis Genton (1928-2018) dès 1977. Le cap des 5 millions est franchi en 1985. Il faut alors lancer un nouveau programme d’extension. En 1985, débutent les travaux avec l’objectif d’une capacité de 7 millions de passagers : Extension en largeur de l’aérogare au niveau des halls de départs et arrivée. Sur le tarmac, réalisation de satellites en "Y" pour gros porteurs reliés à l’aérogare centrale par un système de navettes automatiques. Un nouveau tri des bagages est prévu. La liaison ferroviaire qui met Cointrin à 6 minutes du centre-ville se concrétise en mai 1987. En mai 1988 le reste est réalisé, incluant des nouveaux guichets d’enregistrement et une zone commerciale agrandie. Un nouveau bâtiment abrite le tri des bagages, le centre Swissair et le siège de la IATA. Une nouvelle halle de fret peut traiter jusqu’à 100 000 tonnes par an. Jean-Pierre Jobin est à la direction dès 1994.

Viendront encore de nouveaux guichets d’enregistrement permettant à un nombre plus important de compagnies de pratiquer le "self check-in" et d’offrir un confort supérieur aux passagers les jours de gros départs. Cette zone entre en service début 1996, précédée par la réorganisation complète du système de restaurants. Une autre étape importante concerne l’équipement de 2 des satellites avec des passerelles télescopiques offrant aussi plus de confort aux passagers. Cet équipement est installé dès 1995 alors que l’aéroport a obtenu son autonomie administrative en 1994. Maintenant piloté par un conseil d’administration (CA) il se nomme Aéroport International de Genève (AIG).

Sans Swissair, avec les "Low cost" et les "bitzjets"

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Ancienne aérogare de 1948, futur ( ?) terminal T2 des vols "low-cost" (photo J.C.Cailliez).

En hiver 1996-97, Swissair débute son triste chant du cygne et retire 18 départs de longs courriers de Genève n’en laissant qu’un seul : New-York. Le CA réclame le "Geneva Open Sky", la fin du monopole Swissair, le droit pour les compagnies étrangères de bénéficier de la "5ème liberté" en desservant Genève pour des vols intercontinentaux. Le Conseil fédéral, les Chambres fédérales s’empressent heureusement, donnant satisfaction à Genève à la fin 1998, sous certaines réserves qui s’évaporent avec la disparition de Swissair, Swiss, etc.. Entre temps les compagnies dites "Low cost" on grandi, grossi, et occupent dès 1997 la plus grande part de marché des vols au départ de Cointrin. En septembre 1996, le CA adopte un plan d’investissements en étapes : réalisation d’une aile ouest, avec de nouvelles salles d’embarquement plus spacieuses et confortables reliées aux avions par des passerelles télescopiques. De nouvelles positions d’avions sont ainsi gagnées (5 au lieu de 3). Les travaux débutent en mars 1998, l’entrée en service a lieu en juin 2000. La 2ème étape : réalisation de nouvelles salles d’embarquement frontales (Nef) devant l’actuelle aérogare, permettant le stationnement de 5 avions. Au total, 10 avions trouvent place au contact direct, contre 7, et tous sont reliés par des passerelles télescopiques. La mise en service concerne d’abord le bâtiment de liaison avec l’aile ouest (décembre 2000) ; puis les NSEF (juillet 2003) avec deux salles destinées au secteur français (décembre 2004). La 3ème étape : réalisation d’un terminal destiné aux avions gros-porteurs, n’est plus d’actualité avec le départ de Swissair et l’arrivée des compagnies « low cost ».

Fin 2003, le CA décide de permettre une offre de prestations différenciées au sein de l’aéroport. C’est ainsi que naît le projet de réhabilitation de l’ancienne aérogare (baptisée T2) en un terminal où les conditions d’embarquement de débarquement sont plus « rustiques » que dans le terminal principal. En avril 2004, le CA lance un « appel à projet » proposant à toutes les compagnies qui le souhaitent de bénéficier de cette option. Deux compagnies "low cost" répondent favorablement. A l’été 2004, le CA va de l’avant dans le projet et reçoit l’aval de la Commission de la concurrence (septembre 2004) estimant qu’il ne contrevient pas aux normes établies par l’accord bilatéral avec l’Union européenne. A la fin 2005, 9,4 millions de passagers ont utilisé la plateforme genevoise dont environ 30% de "low cost", 30% de jets d’affaire ("Bizjets") et 40% pour tout le reste....

A suivre ....bien sûr...

Personnel travaillant sur la plateforme aéroportuaire :

1920 : 1 I 1922 : 6 I 1925 : 7 I 1930 : 12 I 1935 : 33 I 1939 : 41 I 1946 : 230 I 1950 : 450 I
1954 : 578 I 1960 : 1.126 I 1965 : 1.499 I 1967 : 1.720 I 1969 : 2.729 I 1970 : 3.227 I 1971 : 3.292 I 1972 : 3.500 I
1980 : 4.000 I 2010 : 8.500 I 2011 : 9.500 I

 

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...

Nombre de passagers de l’aéroport :

1922-1939 I 1961 I 1968 I 1971 I 1976 I 1985 I 1990 I 1999 I 2003 I 2005 I 2007 I 2009 I 2011 I 2013 I 2015 I 1922-2016 I
148.000 I 1 million I 2 M I 3 M I 4 M I 5 M I 6 M I 7 M I 8 M I 9 M I 10 M I 11 M I 13 M I 14 M I 15 M I 360 millions.
Par : Jean-Claude Cailliez
Le :  mercredi 13 juillet 2005
  • Parmi la volumineuse bibliographie liée à l’AIG, citons 5 ouvrages datant du dernier tiers de siècle :
    - 1981 : L’avion à Genève, de René Hug. Ed.du Tricorne, 200pp, texte, ills (N&B). A4.
    - 1995 : Geneva International Airport, de Aram Gesar. Airlife publish. Ltd, 120p, spotting d’avions (couleur). A5.
    - 2002 : Deux communes sur la piste, de Gérard Bernardini. Ed. La Mémoire du Grand Saconnex, 104p, texte et illustr. (N&B). A5.
    - 2004 : Les ailes de Genève, de Philippe Roy, Ed. du Tricorne, 80p, riche texte et nombreuses ills couleur. A4.
    - 2009 : L’envol d’une ville, de Bernard Lescaze, Ed. Slatkine, 320p, A5 (Nb : l’histoire politico-économique de Cointrin), tous disponibles à la librairie ".
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  • Pour plus de détails Site Internet
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    [2010] La 1ère aérogare de Cointrin, 1920-1954 (Diaporama, sonore, 02’, 64Mo). Format QuickTime.
    [2011] Cointrin en 1947 : reprise de l’activité commerciale (diaporama musical 03’45’’ 8Mo). Images de Georges Gorgerat & Willy Sutter.. Format MP4.

    - Ci-après, le mois de mai 49, avec l’inauguration de l’aérogare, des grands hangars et le meeting aérien qui lui est attaché, ont généré plusieurs films de témoignage :

    [2011] "L’aérogare à Tintin" ... et Milou ! La 2ème aérogare (1948-1954) (diaporama musical, 04’35’’, 9Mo). Format MP4.
    [2007] Nouveaux hangars & aérogare (1948) et meeting du 22.05.1949 (vidéo n&b sonore 2,5’, 91Mo), nécessite le plugin QuickTime. Images du Ciné Journal Suisse.
    [2015] Meeting d’inauguration de l’aérogare de Cointrin (22.05.1949) (vidéo sonore, 3’53’’, 134Mo). Images Robert Collet. Format QuickTime 7.5 minimum.
    [2016] Meeting du 22 mai 1949 lors de l’inauguration de la nouvelle aérogare (film musical, 03’48’’, 64Mo). Avec les Mustang suisses ... et la Topolino. Source Autrefois-Genève. Format QuickTime 7.5 minimum.
    [2008] Le meeting du 22.05.1949 en photos (Diaporama musical, 02’23’’, 56Mo). Format QuickTime. Images Pionnair.
    [2007] Aérogare et tarmac des années 50-60 (1956-59-63, couleurs, sonore, 5’37’’, 160Mo). Format QuickTime. Bristol Freighter, DC-6, Metropolitan, etc. Reportage Autrefois Genève, par David Charrier & Jean-Claude Brussino.
    [2016] L’aérogare de 1949 filmée en couleurs dans les années 1956-1964 (vidéo sonore, 01’58’’, 48Mo). Source Autrefois-Genève. Format QuickTime 7.5 minimum.
    [2011] Cointrin en 1959 peu avant les jets & la photo couleurs (diaporama n&b, 03’16’’ 8Mo). Format MP4. Par Charles Lerch.
    [2007] Cointrin 1964 : Comet-4, Caravelle, Coronado, Lockheed Electra, etc. (vidéo couleurs, sonore, 2’46’’, 108Mo). Reportage Autrefois Genève, David Charrier & J.C.Brussino. Format QuickTime.
    [2014] Une journée colorée à Cointrin en 1966 : Caravelles(s), Coronado, DC-8 et B-707 d’Air India (vidéo musicale, 07’, 266Mo). Images Robert Collet. Format QuickTime.
    [2008] La 3ème aérogare, de 1968 et plus... (vidéo musicale, 02’24’’, 62Mo). Format QuickTime.
    [2009] Cointrin au temps des hélices, 1920-1966 (vidéo couleurs, sonore, 12’, 318Mo). Format QuickTime. Reportage Autrefois Genève no.38, janv. 2009, par David Charrier & J.Cl. Brussino.
    [2010] Cointrin au temps des jets, 1960-2010 (vidéo couleurs, sonore, 12’, 380Mo). Format QuickTime. Reportage Autrefois Genève no.49, mars 2010, par David Charrier & J.-Cl. Brussino.
    [2010] En 1978 : les avions du tarmac de Cointrin en couleurs (diaporama, 02’23’’, 7Mo). Par Jean-Luc Altherr. Format MP4.
    [2010] En 1989 : volatiles compagnies de Cointrin, hautes en couleurs (2010, diaporama, couleurs, 03’09’’, 8Mo). Format MP4.
    [2013] Des Concorde au meeting des 75 ans de l’Aéroport de Genève-Cointrin (1995) (vidéo musicale, 04’46’’, 161Mo). Par J.Cl. VonMoos. Format QuickTime 7.5 minimum.
    [2009] La tour de contrôle "Goldorak" fête ses 25 ans (2009) (diaporama sonore, 02’44’’, 51Mo). Format QuickTime.
    [2010] Premier A380 sur le tarmac de Cointrin (02.2010), reportage Léman-Bleu, TSR1 (film couleurs, sonore, 07’33’’, 184Mo).
    [2010] Cointrin fermé ?!? car la cendre d’un volcan aurait menacé certains vols (mai 2010) (Diaporama, 01’42’’, 4Mo). Par Chr. Bechir & JCC. Format MP4.

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